La librairie Les Jours heureux succède aux jours tristes d’un bar PMU sordide où la laideur et la crasse régnaient en maître.

Dès la première visite les pistes de réflexion étaient évidentes :

• supprimer les habillages muraux
• redonner le maximum de volume en déposant tous les faux-plafonds
• aller chercher la lumière naturelle, ouvrir le lieu sur la rue
• démolir un débarras qui masquait une belle cloison courbe sur 2 niveaux

Ces points étant acquis et le plan d’aménagement étant imposé par l’organisation des volumes, notre réflexion commune s’est orientée vers les matériaux, carreau ciment pour le sol, métal étiré pour le plafond et acier rouillé pour la vitrine, le mobilier et, pour finir, l’éclairage.

Malgré des délais extrêmement courts et un budget serré la librairie a pu ouvrir à la date prévue.